Catégorie : Publication

L’architecte Jean-Marie Laloy 1851-1927

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Le bâtiment des Halles est constitué d’acier et de briques. Il a été construit en 1895 par Jean-Marie Laloy et rénové en 2007.

[ Article publié dans Reflet n°419 – Mars 2015 ]
L’association Patrimoine historique de Guichen Pont-Réan poursuit ses recherches. Deux fois par an, elle vous propose des thèmes différents pour voyager dans le temps. Cette fois, c’est l’histoire du célèbre Jean-Marie Laloy qui vous est proposé.

Jean-Marie Armand Isidore Laloy, né en novembre 1851 à Fougères est le fils de Charles Isidore Marie (percepteur) et d’Armandine Hubert (propriétaire).
Il se déplace à Paris pendant sept ans pour suivre de brillantes études à l’École nationale des Beaux-Arts de Paris. Il ressort 1er de cette école. Continuer la lecture →

Construction de la brigade de gendarmerie à cheval

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Commune de Guichen – Gendarmerie à cheval – Ensemble

[ Article publié dans le Reflet n°414 – Octobre 2014 ]

En 1920, l’ancienne gendarmerie est située rue du 11 novembre. Vu le coût des travaux (180 000 francs), les responsables du projet estiment qu’il vaut mieux en construire une nouvelle. La Commission s’est réunie le 16 octobre 1917, composés des membres présents : M. Ferron et M. de Villoutreys, conseillers généraux, et de M. Jean-Marie Laloy, architecte départemental. Continuer la lecture →

Le premier officier public de la commune de Guichen

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[ Article publié dans le Reflet n°402 – Août/Sept. 2013 ]

Un peu d’histoire : Dès décembre 1789, l’Assemblée Nationale dite Constituante (appelée ainsi parce que son objectif était de donner une constitution à la France) va promulguer une loi sur l’organisation municipale nouvelle.
Cette dernière sera reprise dans la constitution deux ans plus tard. Selon cette loi, les citoyens actifs éliront tous les deux ans au suffrage universel un corps municipal avec, à sa tête, un maire choisi parmi ces conseillers municipaux. Par citoyen actif, il faut entendre : citoyen domicilié dans la commune, âgé de plus de 25 ans, redevable d’un impôt égal à trois journées de travail et qui n’est ni domestique ni banqueroutier. Continuer la lecture →