Métiers de bouche

Petite histoire de la boulangerie.

Les hommes préhistoriques mélangeaient déjà les céréales à de l’eau et mettaient cette bouillie à sécher au soleil. C’est l’invention du four qui fut déterminante chez les Égyptiens puis chez les Grecs.

Si Dagobert 1er, en 630, pose les bases réglementaires de la fabrication du commerce du pain, Continuer la lecture →

Un chaland chargé de vin à quai

bateau de vin

La Halte à Guichen – Collection Musée de la Batellerie de l’Ouest – Redon

Cette carte fraîchement arrivée… un peu comme ce printemps qui tarde à se révéler… ne m’a pas laisser le temps de trouver des renseignements sur « Fabrique d’Articles de Pêche, L. CHOUMETTE « .

Y produisait-on des cannes, des bouchons ou plus exactement des flotteurs, des épuisettes? Il est peu probable que ce soient des hameçons ou des cuillères  ! Alors si vous avez la moindre information, croyez bien que j’en suis preneur… à bon entendeur.

A vrai dire, mon regard ne s’est pas arrêté sur ce bâtiment qui d’ailleurs existe toujours, mais sur le chaland en train de remonter sur Rennes chargé de demi-muids de vin. La « précieuse » marchandise venant d’Algérie a été chargée à Nantes au quai Wilson ou au quai des Antilles. Le chargement effectué il reste 184 kilomètres à parcourir pour rallier Rennes et livrer Économique où se fait la mise en bouteilles… qui précède la livraison dans une des succursales.

L’enseigne compte 600 magasins répartis sur 11 départements et fait vivre 1800 employés d’après un encart publicitaire de 1934.

Si la plupart des mariniers ont effectué à l’occasion ce type de transport, certains avaient un quasi-monopole en particulier René Rohan de l’Alcyon et Jean Rincé… Ça ne s’invente pas quand on transporte du vin ! Qui fut patron du Grondeur et ensuite du Blainville.

En accompagnement Charly BAYOU – Responsable du Musée de la Batellerie de l’Ouest – Redon.

Inscriptions anciennes

Inscriptions anciennesDans nos campagnes,   il existe de vielles habitations en pierre. Ces maisons anciennes tiennent encore debout. Des propriétaires entretiennent pour éviter les infiltrations. Ils découvrent à l’étage des inscriptions sur une poutre. Y est inscrit  le nom Quérat couvreur à Guichen. Des questions restent en attente : S’agit-il du propriétaire des lieux ? Ou bien du couvreur de la région ?  Ici : ce n’est qu’un exemple de trouvailles. Continuer la lecture →

Un café à Guichen  »VEND à BOIRE et à MANGER » ?

Ce cliché photographié dans  les années 1930, . Nous lisons au dessus de la porte  »CELLIER  BOUGEARD » .

Une autre indication en dessous :  »VEND à BOIRE et à MANGER » Aujourd’hui ce café porte le nom de  »L’EMBUSCADE » : situé rue Fagues à Guichen.

Est-ce bien cet endroit ? Dans le prolongement de cette rue, rue Théodore BOTREL, une bijouterie BOUGEARD, fermer à ce jour. Ces deux familles étaient-elles parentes ?.

Si vous reconnaissez des personnes ou avez des renseignements?  Contactez-nous?  Vos informations nous aideront à dater ce cliché. Il est dit quand ce lieu : la commerçante faisait à manger aux écoliers.

Les cantines communales n’existaient sans doute pas?

De père en fils…

Celui qui regarde la forge derrière la porte entr’ouverte ne voit jamais autant de choses que celui qui la regarde de l’intérieur. Il n’est pas de forge plus ancienne, plus surannée que celle de Guichen. Il n’existe pas d’objets aussi beaux, aussi extraordinaires que des outils vieillis par le temps, dans cette forge mystérieuse et sombre. Deux fenêtres, la porte d’entrée, et deux petits foyers éclairent ce trou noir. Dans cet endroit huileux, tantôt obscur, tantôt éclairé par la flamme de l’allégresse, vit un forgeron, rêve un forgeron. Continuer la lecture →

La Culture et l’Agriculture

Le cultivateur travaille la terre, celui qui se cultive travaille sur lui-même : son corps, ses sens, ses pensées, . Il travaille sur la vue   avec la peinture, sur l’ouïe, avec la musique, sur le corps avec la danse, sur la pensée logique avec le jeu d’échec… L’agriculture libère l’homme en lui permettant de dominer la nature. De même la culture libère l’individu en lui permettant de maîtriser sa sensibilité. Elle libère également des possibilités cachées : adresse manuelle dans les arts plastiques, sensibilité dans la musique, dans la littérature etc…Elle lui permet de trouver le plaisir et l’équilibre que l’on ne trouve pas dans le labeur quotidien. Elle casse le cercle du travail, du transport, du sommeil. sources : la photo = Notions d’agriculture de 1960 p 38

Voici la suite de Culture ! Le mot  »culture » vient du latin  »colère » qui veut dire mettre en valeur Continuer la lecture →