Du temps de nos ancêtres, 99 % étaient analphabètes. Les curés, les secrétaires de mairie ne se souciaient nullement de l’orthographe.
Le son « o » fut celui qui offrait le grand nombre de variantes. Rencontré dans le milieu d‘un mot ou d‘un nom, on avait le choix entre trois graphies classiques : « o », « au » ou « eau ».