De père en fils…

Celui qui regarde la forge derrière la porte entr’ouverte ne voit jamais autant de choses que celui qui la regarde de l’intérieur. Il n’est pas de forge plus ancienne, plus surannée que celle de Guichen. Il n’existe pas d’objets aussi beaux, aussi extraordinaires que des outils vieillis par le temps, dans cette forge mystérieuse et sombre. Deux fenêtres, la porte d’entrée, et deux petits foyers éclairent ce trou noir. Dans cet endroit huileux, tantôt obscur, tantôt éclairé par la flamme de l’allégresse, vit un forgeron, rêve un forgeron. Continuer la lecture →